Grâce à Trump, l’ivermectine pourra soigner le cancer, l’Alzheimer et Parkinson

19 October 2025
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La loi Right to Try Act n’est pas nouvelle : Donald Trump l’a signée en 2018, ouvrant la voie aux patients condamnés pour accéder à des traitements expérimentaux. Mais en 2025, son impact explose. Les guérisons spectaculaires liées à l’ivermectine et au fenbendazole bouleversent l’ordre établi et révèlent ce que beaucoup dénoncent depuis longtemps : Big Pharma préfère protéger ses milliards que sauver des vies.

Une loi simple, un changement radical

Quand Donald Trump signe la loi Right to Try en 2018, il redonne aux patients condamnés un droit fondamental : choisir eux-mêmes leur dernière chance, sans attendre des années que la bureaucratie de la FDA daigne valider un traitement.

« Nous avons sauvé des milliers de vies », martèle Trump.

En 2025, cette loi n’est plus un simple texte : c’est une arme contre un système qui a trop longtemps mis les profits au-dessus des personnes.

Deux médicaments qui effraient les puissants

Ce qui met Big Pharma en panique, ce sont deux molécules bien connues et… bon marché.

  • Ivermectine : antiparasitaire devenu symbole, elle ralentit les métastases et cible les cellules cancéreuses sans détruire les saines.
  • Fenbendazole : vermifuge vétérinaire, il affame les cellules cancéreuses en bloquant leur accès au glucose.

Résultat : des patients que l’on disait perdus témoignent de rémissions. Le coup de tonnerre est venu quand Mel Gibson lui-même a révélé qu’un cancer de stade 4 pouvait être renversé grâce à ces traitements. Impossible d’étouffer l’affaire.

Une découverte qui dépasse le cancer : Parkinson et Alzheimer

Le Dr William Makis rapporte un succès inédit dans l’utilisation de l’ivermectine contre deux fléaux neurologiques : la maladie de Parkinson et la maladie d’Alzheimer.

  • Dans le cas de Parkinson, de fortes doses (60 à 72 mg) ont provoqué des améliorations spectaculaires : des patients quasiment immobilisés ont retrouvé une mobilité surprenante, l’un d’eux a même repris le golf après des années.
  • Pour Alzheimer, le protocole à faible dose (12 à 24 mg sur quelques jours) a fait renaître la mémoire et la lucidité. Dans un cas stupéfiant, un patient a pu quitter l’hospice après une amélioration radicale.

Les familles témoignent : « Ma grand-mère est de retour. » Ces scènes bouleversantes montrent que l’ivermectine, au-delà du cancer, pourrait bien toucher aux maladies neurodégénératives les plus cruelles.

Makis accuse l’establishment médical d’avoir volontairement enterré ces recherches, constatant que des données précliniques avaient disparu des moteurs de recherche. Pour lui, il est urgent de briser l’omerta : un traitement simple, sûr et accessible ne doit pas être écarté par pure logique de profit.

Big Pharma, la peur du remède à deux sous

Pourquoi l’ivermectine et le fenbendazole ne sont-ils pas massivement utilisés ? La réponse est brutale : parce qu’ils ne rapportent rien.

Les traitements oncologiques brevetés valent des dizaines de milliers de dollars par patient. Ces deux médicaments coûtent quelques euros. Chaque guérison est un scandale pour les multinationales.

Alors, elles nient, elles censurent, elles diabolisent. Mais la vérité circule : sur les réseaux, dans les hôpitaux de fortune, dans les témoignages de familles.

La médecine parallèle s’organise

Au-delà de ces deux molécules, un courant de médecins dissidents compile des protocoles : 18 alternatives au cancer ont déjà été recensées. Nutrition stricte, molécules réorientées, naturopathie…

Ce qui hier était marginal devient aujourd’hui un mouvement mondial. Les patients refusent de rester prisonniers d’un système verrouillé. Ils réclament le droit d’essayer, le droit d’espérer, le droit de vivre.

Trump, catalyseur d’un réveil

Trump n’a pas seulement signé une loi en 2018. Il a ouvert une brèche. En 2025, cette brèche est devenue une fissure dans le mur que Big Pharma croyait indestructible.

Son message est simple : la liberté médicale appartient au peuple, pas aux bureaucrates ni aux actionnaires. Ce leadership audacieux inspire des millions de malades et leurs familles à refuser le fatalisme imposé par l’industrie.

Une nouvelle ère : le peuple contre les profits

Oui, des experts crient au danger. Mais que vaut ce discours face à un patient condamné qui retrouve l’espoir ? Interdire un traitement expérimental à un mourant, c’est le condamner deux fois.

Le Right to Try Act est devenu un symbole : celui de la liberté contre la censure, de l’humain contre la machine à cash pharmaceutique.

Conclusion : une révolution médicale en marche

En 2025, l’ivermectine et le fenbendazole ne sont pas seulement deux molécules. Ils incarnent une révolution. Des patients, des médecins, des voix publiques comme Mel Gibson, et un président qui a osé briser les chaînes bureaucratiques : tous convergent dans un même cri.

La liberté médicale est en marche. Le monopole de Big Pharma tremble. Et pour la première fois depuis longtemps, des malades reprennent la main sur leur destin.

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