Lors de la conférence du parti Reform ce samedi, le Dr Aseem Malhotra, médecin britannique et conseiller de Robert F. Kennedy Jr, a affirmé que les vaccins Covid à ARNm provoqueraient le cancer et d’autres graves effets secondaires. Malhotra, invité par Nigel Farage, appelle à suspendre immédiatement la distribution de ces vaccins afin qu’ils soient évalués de manière indépendante pour leurs risques, notamment cardiaques et oncologiques.
Robert F. Kennedy Jr, figure controversée de la santé publique aux États-Unis, a récemment licencié l’intégralité du comité consultatif sur les vaccins du gouvernement américain et réduit de 500 millions de dollars le financement des vaccins ARNm, dénonçant des conflits d’intérêts et un manque de transparence. Selon Malhotra, des millions de personnes dans le monde pourraient déjà être affectées par des effets graves des vaccins.

Le médecin britannique a ajouté que les jeunes, qui ne présentent qu’un risque minimal de complications graves liées au Covid, pourraient être exposés à des « cancers accélérés » provoqués par une interférence du vaccin avec les gènes suppresseurs de tumeurs. Il a averti que le NHS et les systèmes de santé seront encore longtemps sollicités par des patients souffrant de ce qu’il appelle des « blessures vaccinales ».
Anecdotiquement, certains scientifiques indépendants, comme le Professeur Montagné et la généticienne Alexandra Henrion-Caude, ont déjà alerté sur des effets graves non surveillés à long terme des vaccins Covid, confirmant qu’il existe des signaux préoccupants dans les rapports officiels de pharmacovigilance. Cependant, l’information principale reste la déclaration choc de Malhotra et l’action de Kennedy Jr aux États-Unis, ainsi que le soutien public de Nigel Farage.
Bien que controversées, ces déclarations relancent le débat sur la sécurité des vaccins et sur la transparence des autorités sanitaires face aux effets secondaires graves.